Aïkido Luc-La-Primaube

Aïkido Luc-La-Primaube

EPA-ISTA : le choix d’une Ecole Traditionnelle

Le choix d’un Maître

Suite à de nombreuses années d’étude en tant qu’élève et Uchi-Deshi,  en 2007 le fruit d’une longue réflexion pousse Alfred Rivéro au choix de l’autonomie pour étudier plus en profondeur cet art martial si unique en créant son propre Dojo.

Le 16 décembre 2007 marque la naissance de :

L’Aïkido Luc-La-Primaube

Connaitre un dojo, c’est avant tout connaitre son professeur

BIOGRAPHIE D’ALFRED RIVERO SENSEÏ

1988 : Alfred débute l’Aïkido à Rodez  auprès de Maurice BATBARE Senseï (fondateur et professeur du dojo de Rodez en 1981, élève de l’école de Maître TAMURA, FFAB)

1990 : A la demande de son professeur, Alfred se voit confier les cours enfants

1993 : Suite au départ de Maurice BATBARE, Alfred devient l’élève d’Yves Longan Senseï alors professeur du dojo de Rodez.

Consacrant tout son temps à cet art en tant qu’Uchi-Deshi, Alfred n’aura de cesse de s’investir dans la gestion et le fonctionnement du dojo.

1998 : Il a à sa charge plusieurs cours aussi bien d’armes qu’à mains nues tout en secondant son professeur lors de ses déplacements

Décembre 2007 : fût le grand tournant dans la pratique d’Alfred qui choisit la voie de l’autonomie en ouvrant son propre Dojo EPA-ISTA à Luc-La Primaube.

2010 : il choisit de devenir Soto-Deshi d’André Bouillon sensei, lui-même élève d’Alain Peyrache Shihan, Sôké EPA-ISTA.

2021 : Sonnant comme une évidence, il devient élève direct d’Alain Peyrache  dont il n’a jamais cessé de suivre l’enseignement afin  de retransmettre le plus fidèlement possible cet art unique à ses propres élèves

UCHIS-DESHIS DU DOJO

 EPA-ISTA: Ecole d'AïkidoTraditionnel

Un Maître, un Dojo », un choc culturel ?

Derrière ce que certains ne considèrent que comme un slogan, se cache le fondement de la pratique traditionnelle des arts martiaux japonais encore de nos jours au japon et donc de l'aïkido.

L’EPA-ISTA crée par Alain Peyrache est une école d'aïkido traditionnelle

Un "ryu" diraient les japonais, où l'on applique ce fonctionnement qui se structure autour d'un Maître.

A l'identique de l'ACFA, ACBA ACEA etc. dont Alain Peyrache fut un des acteurs importants (membre du comité directeur de l'ACFA de 1968 à sa dissolution en 1971), ces écoles furent crées par les élèves du fondateur à leur arrivée en Europe.
ACFA pour la France (800 pratiquants) : Me Nakazono, Tamura, Noro (2 ans avant qu'il ne crée sa propre école "ki no michi), alors qu'il éxistait déjà 2 fédérations au sein de la FFJDA fédération de Judo et discipline associées le Yoseikan autour de Mochizuki (3000 pratiquants) et l'autre autour de Nocquet (3000 pratiquants).

Car les fédérations sportives ne convenaient pas à la pratique d'un art martial

leur fonctionnement étant à l'opposé de celui de l'aïkido. Le refus de fonctionner dans un système de fédération FFJDA à l'époque fut même à l'origine de départ de Nakazono sensei.

En occident, dans tous les milieux artistiques ce fonctionnement de "dojo et de ryu" est utilisé. Ceux qui le désirent peuvent devenir le disciple, l'élève d'un artiste quelque soit son domaine et cela depuis des sciècles, une preuve de son efficacité.

Ce n'est donc pas typiquement japonais ou oriental, mais le fonctionnement classique de tout apprentissage traditionnel quelle que soit la culture y compris occidentale.

 Alfred et les Uchis-Deshis  se rendent très régulièrement sur des "stages" pour profiter de l'enseignement d'Alain Peyrache Soke dont il est l'élève 

RDV sur https://www.aikidostage.com ou en cliquant sur la photo ci-dessous